Bonjour à toutes et à tous,
Comme promis nous revoici plus en forme que jamais et gonflés à bloc par votre soutien à tous lors de la dernière campagne !
Quoi de mieux que de renouer le contact autour d’un bon verre ?
Nous vous avons concocté un nouvel événement Liégeois : la nuit verte !
Le concept : occuper pour un soir un lieu insolite ! Pour cette première édition, c’est le MAMAC qui a été choisi !
Alors à Dimanche ?
C’est dans le cadre des élections communales du 14 octobre que nous avons pris l’initiative de lancer qualité de villle.be.
Une initiative qui, nous le souhaitons, survivra au scrutin des communales 2012.
Un site qui prendra la forme tantôt de relais citoyens « la parole donnée à… » ou de coup de gueule, coup de cœur ou encore d’article de fond sur notre engagement politique et citoyen.
La parole à Pierre Dumoulin et Benoît Bovy, respectivement chanteur et batteur du groupe Roscoe
Roscoe et moi c’est encore une longue histoire… J’ai connu Ben en Géo à l’ULg, très vite le courant est passé entre nous. Faut dire c’est pas un difficile le Benhuur. On s’entendait tellement bien que nous avons fini par louer une maison avec Caroline et Gilles (deux autres amis de géo) pour vivre ensemble durant quatre ans. Inutile de préciser le nombre de soirées et de gens que cette maison à vu passer hein. C’est justement via l’une de ces soirées que j’ai eu la chance de rencontrer les membres de son groupe à savoir les Roscoe, avec qui je suis parti en vacances un peu plus tard et ou j’ai eu le privilège d’assister à la naissance de plusieurs morceaux de leur album « Cracks ».
Je ne suis pas le seul à avoir apprécié la rencontre puisque Caroline est entre temps devenue la compagne de Pierre, qu’elle et moi sommes devenus parrains et marraine de la fille d’autres amis, que Pierre est devenu l’ami de Gilles, que… bref une longue histoire comme je vous le disais, mais surtout une belle histoire d’amitié !
Combien rapporte la publicité envahissante à la Ville de Liège ?
La publicité par affichage envahit, privatise et formate notre espace public, nous pousse à la (sur)consommation et dégrade notre environnement visuel.
En outre, quand nous écoutons la radio ou regardons la télévision, les spots publicitaires nous donnent l’occasion de zapper. Il en va tout autrement sur l’espace public où la publicité nous impacte sans que nous puissions l’éviter. Elle est donc subie et imposée.
Cette exposition ‘obligée’ à l’affichage urbain est le meilleur moyen d’influencer le consommateur dans sa dynamique d’achat compulsif puisque 92% de la population est ainsi « impactée » par l’affichage dans les 2 heures précédant leurs achats.
Pour arriver à un tel taux de pénétration, JC Decaux a obtenu (après appel d’offre) l’exclusivité de l’affichage urbain le 12 novembre 2001 pour une durée contractuelle de 15 ans. Pour exercer son pouvoir d’influence, et afficher plus d’un millier d’affiches de 2 m² dans la ville, JC Decaux doit payer une redevance à la Ville.
A ce marché juteux de l’affichage des 2 m², dont JC Decaux a le monopole, il faut ajouter tous les autres types d’affichage que différentes sociétés se partagent (JC Decaux, Clear Channel, Belgian Poster, etc.), comme les panneaux de 20 m² et 36 m², qui occupent près de 12.000 m² sur le seul territoire de la Ville de Liège !
Jean Marc (ici à gauche) avec ses associés
La façon dont j’ai connu Jean Marc ? En guindaille bien sûr ! Notre amitié symbolise à merveille la raison pour laquelle j’encourage toujours les plus jeunes à pousser la porte des cercles d’étudiants, les comités de baptêmes, etc. En effet, issus d’écoles et d’orientations différentes c’est grâce à un cercle estudiantin que nos chemins se sont croisés.
Revenons à Jean Marc, je crois que j’ai jamais vu ce type tenir en place plus de 10 min. chaque fois que je le croise il prépare toujours un truc, il est toujours en train de foncer et avec lui les idées fusent !
Accrochez-vous on va essayer de le suivre, c’est parti pour l’interview !
Salut Jean Marc, merci d’avoir accepté l’interview.
“met plaisir! “ comme ils disent au nord.
Bon on s’en doute un p’tit peu chez « Attrap Sushi » on n’vend pas de Bicky, tu nous en dis un peu plus ?
Eh bien Attrap’Sushi, c’est surtout une manière de voir la restauration à emporter différemment.
A l’heure ou le fast food bât son plein, je pense que prendre soin de soi et des générations futures est important.
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