Isa et moi avons partagé les bancs de l’école à l’athénée de Montegnée-Grâce Hollogne. À l’époque les cours de math et de physique c’était pas trop son truc, par contre niveau déconne elle était toujours là. Pour info on peut lire sur son site www.isabellenasello.com, qu’elle rêvait de devenir médecin et qu’elle s’est donc logiquement inscrite en fac de … littérature à l’ULg. (Complément ouf, je vous dis
NDLR)
Isabelle vient de créer son premier spectacle : « C’est quoi ce délire ? »
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Hervé et moi, c’est une longue histoire. On s’est connu alors qu’on était haut comme trois pommes aux louveteaux de la 9ème Légia à Cointe, puis aux scouts dans les années suivantes. Je dis haut comme trois pommes, mais il faisait déjà trois têtes de plus que tout le monde, je cois que ce type n’a jamais été petit, faut voir le bestiaux J.
Allais, c’est parti pour l’interview !
Je l’avoue, je suis BDvore ! Je consulte quasi toutes les semaines le site « BDGest » et quand je me rends en ville dans un de nos magasins de BD, j’ai le portefeuille qui saigne.
C’est donc en toute subjectivité, que j’ai choisi d’aborder ce thème qui me tient à cœur.
État des lieux
Liège bénéficie de deux grandes écoles de BD (l’Académie Royale des Beaux-Arts et St-Luc) et ne compte plus les dessinateurs, scénaristes célèbres. Cependant, force est de constater que, mis à part les librairies spécialisées en BD et les manifestations « économiques », rien n’est fait pour aider ce secteur (si ce n’est bien sûr l’enseignement communal artistique).
Ma proposition
On ne compte plus, les cellules commerciales vides voire même certains bâtiments publics.
Et si on créait une « Maison de la Bande Dessinée Liégeoise » dans un de ces bâtiments ?
On pourrait proposer :
- une exposition permanente des œuvres de jeunes Liégois(es),
- des événements spéciaux pour la sortie d’un album,
- les BD de nos artistes pourraient y être vendues sans commission et à un prix raisonnable (toute proportion gardée, s’inspirer des achats à la ferme, la suppression des intermédiaires garantit un prix raisonnable pour le producteur et le consommateur),
- etc.
Angoulême c’est peut-être ambitieux comme modèle, mais pourquoi ne pas développer une vraie foire ?
Bref, ceci est une « pierre à casser » comme on dit, mais comme pour écolo la participation citoyenne n’est pas un vain mot, ceci serait mis en place avec la collaboration des auteurs et des écoles.
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